[f° 252. 139/620. Pages 5 et 6 du cahier détaché du carnet 237-255, qui occupe les folios 248-254v°. La partie droite du folio reçoit des notes au crayon; la partie gauche est occupée par un texte suivi, écrit à l'encre au-dessus de notes au crayon -voir au f° 248.]
[Partie gauche, suite du f° 251]
Les lords-maires festoient les rois. En 1356 un maire de Londres, nommé Henri Picard, eut quatre rois à sa table: Edouard III roi d'Angleterre, Jean, roi de France, David II, roi d'Ecosse, et Hugo [en sc. sur "Hugolin"] de Lusignan, roi de Chypre. Deux de ces rois étaient prisonniers, Jean de France et David d'Ecosse. Ils étaient un peu là comme esclaves.[Bewerell, t. 4, p. 859] Dans les églises, les Français étaient tenus de prêcher tête nue pour ne pas scandaliser les anglais. [p. 860] Le chapeau n'était gardé que par les Conacres, lisez quakers. Les réfugiés ["de l'Edit" barré en correction cursive] de la révocation de l'Edit de Nantes avaient un subside de 15 mille livres par an. [p. 861] [suite au f° 255ter]
[Partie droite, de biais]
+ + + + presque machinal le tenait.
*
[à 270°]
J' ai plus de + qu'il n'y en a sur les +. Les + c'est éviter les inconvénients des barbes.
*
[à 180°]
[Un fragment d'une dizaine de mots, barré à la verticale, dont on ne lit que les derniers: "dans les assemblées"]
*
Toutes les assemblées font de cette façon des choses crépusculaires dont elles sont à peine conscientes.
[barré d'un trait vertical; employé, dans un ajout, en II, 8, 4, f° 516; voir aussi 15 812, f° 51]